Les médias italiens évoquent une “main invisible” dans les coulisses – la police financière entre en jeu !

Voici un **paraphrasé mot à mot sauf pour les citations**, comme demandé :

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Des **accusations aussi absurdes**. Je n’ai rien à me reprocher. Qu’ils se plaignent s’ils le souhaitent. Je suis prêt.”

Cependant, face à la pression de l’opinion publique et de plusieurs fédérations, la FIFA a décidé de réagir. Un communiqué succinct indique que Marciniak est “provisoirement écarté de toute désignation jusqu’à nouvel ordre”, en attendant la fin de l’enquête concernant les dysfonctionnements de la VAR.

Un choc retentissant… aux répercussions potentiellement durables.

La controverse s’amplifie : Arsène Wenger, consultant pour beIN Sports, s’est dit “choqué” par la conclusion du match. “Comment un outil aussi crucial que la VAR peut-il tomber en panne exactement au moment clé ? C’est troublant.”

En parallèle, les réseaux sociaux s’embrasent. Le mot-dièse #VARGate domine les tendances en Europe. Des rumeurs émergent sur un possible piratage intentionnel, voire sur l’implication d’un réseau illégal de paris basé en Asie.

Et maintenant ?

Le FC Barcelone a officiellement saisi l’UEFA avec un dossier de 84 pages contenant des extraits vidéo, des analyses techniques et des témoignages. Le président Joan Laporta réclame une “révision complète” des systèmes VAR de l’UEFA ainsi qu’une exclusion définitive de Marciniak de toutes les compétitions européennes.

Un match, une défaillance, et tout le continent doute : cette compétition de clubs est-elle encore digne de confiance ? Peut-être une réponse… au prochain épisode.

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